Ravitaillement

 CHINE             VIETNAM             LAOS             CAMBODGE             THAÏLANDE             BIRMANIE

Nous avons souvent mangé au restaurant le midi, que ce soit au Tibet où on trouvait un plat de pâtes ou de riz, même dans les petits villages, ou dans le Yunnan où l’on choisissait les légumes qui accompagneraient le riz dans de grands frigos, présents dans tous les restos. Nous avons seulement eu plus de mal à nous ravitailler dans la descente du col avant Xiangcheng, et sur la portion de piste après Xiangcheng.

Globalement, on trouvait régulièrement de petits magasins pour acheter nouilles, légumes et fruits.

Au Vietnam, on trouve des villages partout, et il est donc très facile de trouver un petit resto pour manger un pho ou du riz midi et soir. Nous n’avons jamais eu à planifier ou à chercher bien longtemps. De même, on trouve des supérettes assez régulièrement.

On a toujours trouvé un petit resto pour manger le midi, même dans les zones les plus perdues (dans ce cas, on se contentait de sticky rice ou soupe de nouilles), et des petits magasins ou marchés pour acheter quelques fruits, légumes ou oeufs.

Une soupe de nouille vaut entre 10 000 et 15 000 kip. Un plat dans un resto coûte généralement entre 20 000 et 40 000 kip. Le régime de bananes 5 000 kip et la beerlao 10 000 à 15 000 kip.

On trouve des petites épiceries un peu partout dans les petits villages traversés. Généralement pas beaucoup de choix, mais on trouve aussi beaucoup de vendeurs de fruits et des stands de rue. Quelques petits restos aussi sur les bords de route. Un plat coûte environ 2$ en général.

Pour l’eau, les Cambodgiens sont ravitaillés en grosses bonbonnes d’eau potable. Dans les magasins, restaurants ou stations services, on peut demander à remplir nos bidons. Mais on trouve aussi des bouteilles d’eau (2000 riel), et des boissons fraîches dans les grosses glaciaires rouges, un peu partout.

Trop facile! On trouve des supérettes qui vendent de tout (7eleven) un peu partout, et même quelques grands supermarchés. Leur concentration est un peu moins grande dans les campagnes mais”le prochain village avec marché n’est jamais très loin. On y trouve une nourriture excellente et incroyablement bon marché. Pour l'eau, on remplissait souvent avec les bonbonnes d'eau potabilisée qu'on trouve un peu partout.

La question du ravitaillement a été moins problématique en Birmanie : comme il est difficile de loger ailleurs qu'à l’hôtel, pas besoin de faire des provisions pour la popote du soir ou le petit-déjeuner. Les hôtels proposent généralement un petit-déj et on trouve souvent de quoi se rassasier dans les petits restos (assez variés dans les lieux touristiques : la Birmanie ne nous a pas emballé par sa gastronomie, mais on trouve souvent de la cuisine thaï, indienne, népalaise...).

De même, pour le midi, nous trouvons régulièrement des restos sur la route, avec des plats tout prêts plein les marmites. Il n'y a qu'à soulever les couvercles pour choisir... et quand les plats ne nous inspirent pas, un petit tour dans la cuisine pour montrer ce que l'on voudrait... le combo riz-œuf-tomate reste une valeur sure.